Le parquet en cassation

   Le joueur généreux : 

   Joli petit "conte" écrit sur un de ses thèmes favoris. Et qui prouve bien que même s'il eut été attaché à combattre cette propension humaine à la superstition, il eut bien aimé que la "providence" lui exhauce un voeu.

   ... vous vous soûlerez de voluptés, sans lassitude, dans des pays charmants où il fait toujours chaud et où les femmes sentent aussi boin que les fleurs, – et caetera et caetera...

   « A votre immortelle santé, vieux bouc !  »

   La corde :

   Persévération thématique, plutôt baroque, de Charles qui compromet Manet sur le dos d'un angevin, dans son obsession monomaniaque diabolisante et quelque peu fanatique.

   Le tout écrit dans un style à nouveau trés classique, qui ne ressemble en rien, ni à de la prose, ni à de la poésie. 

   Je ne sais pas trés exactement à quoi se rapportent le clou et la ficelle ( mais je m'en fous ).

   Mais si on le suit bien, on voit que les femmes ou semble t-il les mères sont toutes de mèche avec cette diablerie.

   Mais si Charles bascule autant sur ce versant satanique, serait-ce que le Dieu des femmes serait... le diable ?

   Viré le restant du parquet, avec la désobligeance de découvrir au pied de la fenêtre des vestiges de carreaux, tels que dans le foyer, que je vais devoir réhabiliter, ainsi que probablement devoir retirer le gros radiateur de la chaudière gaz qui a été placé trés judicieusement sous le chambranle.