Toujours pas de peine alité

   Je crois que si j'avais voulu faire le projet de la trilogie Maille continue il aurait fallu que j'en échafaude le concept et je n'en aurai pas eu les moyens.

   C'est dire en l'occurrence, et pour combien de textes ?, que ma réussite est le fruit de l'inspiration. Et non pas d'une démarche poétique conscientisé.

   Pour ainsi dire c'est pas de ma faute, j'ai pas fait exprés.

   Et de ce que je m'intéresse [ pratiquement ] davantage à la biographie de Charles qu'à ses textes, et qu'à nouveau je mesure le gouffre entre ce qu'arthur nous propose aprés ce qu'il nous a promis, je conclue de ce que la poésie, c'est la vie, c'est la vie de celui qui l'a trouvé, qu'il continue ou non de la chercher.

   C'est dire aprés le chapitre Arthur, qu'une fois que t'as trouvé les trois muses, autant t'amuser, parce que de toute façon tu l'as dans le cul, t'es répéré, à jamais fidèle sujet de sa majesté.

   Ah tu l'as bien dans l'os, toi le pinceau de sa Dame, celle qui t'appelle, qui te siffle, qui te sommes en somme, sûrement l'arène des sirènes. En même temps tu l'as dans l'appaut, Esie.

  " Mais peu m'importe, peu me chaut, je l'ai dans l'appaut... "

   Mais là donc tout le monde comprend que tu l'as dans l'os.                    [ appeau, le lecteur rectifiera ]

   Qu'est-ce que j'ai été marrant, doit se dire Rimbaud en pensant à sa vie. [ ST ] 

   Publié le Couvrement/découvrement du ciel et L'amante à l'eau.

   Ta bouche m'habite.