Ô, lecteur

   Pour le moment c'est : en Juin ne te découvre pas d'un brin.

       Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle...

   Du fait de mes problèmes techniques j'ai réalisé que je lisais déjà Rimbaud il y a six mois...

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   Hymne à la beauté.

      Ah ! mais il avait un problème avec les femmes charles, c'est sûr.

      C'est vraiment un hymne à la beauté. La dernière strophe est peut-être inutile.

      Et donc je n'avais jamais remarqué qu'il y avait "souris" pour sourire. Ca fait trois fois qu'il en use.

   La chevelure, que je découvre comme Parfum exotique, que j'ai pourtant étudié : Ah je crois bien qu'il aimait les femmes.

   XXIV, XXV, la belle plume de charles, tu mettrais, bien l'univers dedans, tant la musique de ferré porte et m'emporte.

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   En fait la poésie, deux trois textes par jour et aprés c'est une drogue.

   Pareillement on pourrait me reprocher de faire de l'esbrouffe quand je dis Allez vous documenter sur Freud, mais tout le monde devrait connaître freud, c'est la trame contemporaine de la pensée, le fil de la pensée moderne, même coluche a tout lu freud. Moi j'ai pas tout lu freud mais j'ai tout lu sigmund, je peux naviguer.

   Lire, oser lire, forcer la culture.

   Si l'on regarde le destin de Rimbaud ou le mien, j'ai végété pendant des années, on est obligé de me croire. Ou alors c'est chacun son Choa, pour ceux que ça tente.

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   J'ai reçu mon micro-onde, qui est tout de même un bel outil de l'homme moderne dont on a plus envie de se passer - l'autre qui vient de me lacher me durait depuis peut-être douze ans et comme je ne l'avais pas acheté je m'en servais pour ainsi dire par procuration - et rien eu le temps de fiche à part des courses.