Le cri des huitres m'accapare

   Le coq lui, tous les matins depuis l'aube de l'humanité appelle le coco rico, qui un beau jour lui a répondu.

   C'était un père OK assurément.

   « Coco » a t-il dit, l'homme est laconique.

   La poésie de Verlaine elle me fait penser à du chewing-gum en tube.

   Bi-goût, dis.

   Aromes naturels, composition artificielle.

   - Ils sont beaux ces chin'toks courbés dans les rizières, avec leurs chapeaux pointus, hein, c'est dépaysant ?

   - Non, c'est des paysans. 

   Je me suis vu, dans l'obligation que j'étais hier de pratiquer un gros trou à la gauche de l'arcade du fond et de le nettoyer encore ce matin, dans la nécessité de l'agrandir ensuite pour arrondir l'angle saillant existant entre le contrefort et le mur du fond et réduire ainsi le rétrécissement du 2ème tronçon.

   Refixé les rideaux qui s'étaient effondrés.  

   Je me suis demandé si ça pouvait être moi aussi qu'incarne le coq, comme Zidane puisqu'il en répond, mais non, moi je suis dans la catégorie poids plume.

   24 bacs pour boucher mon trou de moitié et refaçonner partiellement l'arcade.