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felix est heureux
25 septembre 2020

Pfff

         c'est nul les filles, elles ont pas de sexe ! ( je viens justement d'en voir une dans un tableau courbé : ... y'en a pas ! )

 

   Fusées XI

   Il était donc vraiment défoncé et sous l'emprise d'un fantasme de domination.

   La beauté de la femme : l'air blasé etc. Une emmerdeuse, quoi. Le fantasme d'une femme qui sait : mieux qu'une mère, un double féminin.

 

   Lui-même dénonce la relance incessante de l'idéation : L'inspiration vient toujours quand l'homme le veut [ ce qui est faux évidemment ], mais elle ne s'en va pas toujours quand il le veut.

 

   La prière est une opération magique : ça vaut pas internet.

   Le chapelet est un véhicule : ça vaut pas l'avion.

   Etc.

   Dans le domaine de la spiritualité peut-être, mais Charles cherchait les recettes de l'affranchissement de l'homme moderne, non pas celles qui tiraient la nature humaine vers dieu, mais celles qui exaltaient la probité de l'individu, un cadre intellectuel donc, pour le poète qu'il était.

   A se demander comment il a pu pondre ses jolis pièces, aliéné comme il était.

   C'est sûrement pour cela qu'il en vint à dire que l'homme ne pouvait compter que sur le travail pour s'en sortir.

   On est pas loin de la victoire du moi sur le ça de sigmund.

   C'est d'ailleurs pour ne pas subir que Charles recueillait ces élucubrations.

 

   Minette, minoutte, minouille, mon chat... caprices "sataniques" de la langue. Qui ne valent pas Foufoune.

 

   Il y a des peaux carapaces avec lesquelles le mépris n'est plus un plaisir. [ c'est probablement d'être au-delà de ce mépris ]

 

   Torturé lui-même était-il, tiraillé entre des tendances contraires.

   On est loin de l'aphorisme ou de l'apophtègme parfait, mais enfin il y a quelques bonnes traces.

 

    Mais toujours une certaine finesse chez Charles, en dépit de la rusticité rhétorique.

 

   -----

 

   Et je me trouve devant les poètes dans la même configuration que devant l'oeuvre complète de Mozart, c'est inconnaissable.

 

   J'ai encore passé deux bacs dans la faille et sur le mur.

   Et posé les bases d'un nouveau texte, INVENTaire.

 

  

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