Journée comme une autre

   S'est fait monter le bourrichon par un paterne surmoïque impitoyable et complètement con, aussi on peut dire. [ arthur ]

   Et c'est là que d'un seul coup je me souviens que les femmes existent.

   Merde, c'est foutu.

   Ah-ah mais mesdames, il ne suffit pas d'être une femme, il faut être LA femme !

   Car je ne suis pas de ceux qui se suffisent de l'objet, moi je badine avec les anges, j'ai besoin de promettre la lune !

   Ah non j'ai pas besoin ? C'est vrai, n'importe laquelle fera l'affaire, j'ai déjà dit.

   Ben y'en a pas.

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   Plus de film à 14h sur la deux ! Nous voilà bien sorti de notre confinement, ah dans de beaux draps.

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   Ah ! ben pour une fois, il a composé une fin Charles, et je n'en suis pas fâché, j'aurais trouvé dommage qu'il ne puisse pas transformer l'essai des trois premières strophes à cause d'un final estompé ou d'une redite. 

   Je pense que pour cette dernière strophe il avait la prescience de ce dont il parlait mais qu'il ne savait pas ce qu'il disait, c'est pour le coup trés moderne comme pensée ou perspective, m'est avis qu'il est resté sur cette strophe parce que ça le dépassait, parce que ce n'est pas exactement dans le fil des trois premières.

   Du costaud, beau, Les hiboux.

   Les femmes de mes rêves ( c'est le nom du film alors je pense aux miennes ), catherine zeta-jones, isabelle adjani, marylin monroe évidemment, claire keim surtout, adriana karembeu, aïssa maïga, adriana lima, karine lemarchand, emmanuelle béart, katherine heigl, denise richards, et puis peut-être adeline blondieau et caroline morales.

   Je dois bien en oublier quelques unes.

   Je les aime assez absolutivement, celles-là.