A la recherche de Marcel

   J'ai jeté les bases d'un petit texte qui me semble encore inachevé, L'amante à l'eau.

   Du coup j'ai donc fait le forcing pour expédier mes notes à la journée d'avant-hier, rangé quelque peu mon journal, et je dois donc à nouveau aller en ville.

   L'arme vocale : il faut que je dise que j'ai commencé à l'écrire avec Edith, mais que je l'ai fini avec Claire keim, ce qui en soi n'a pas d'incidence, comme je l'ai déjà mentionné elles possédent pour ainsi dire la même tessiture de voix, c'est juste un modèle disons, plus évolué.

   A la réflexion, si on regarde bien, martin gore georges mickael david bowie freddy mercury, elton john etc. [ la société anglaise serait-elle pervertie ?], klaus nomi..., Mickael pédophile... [ avec ça ils sont tous mortellement fauchés dans la jeunesse ], au final c'est suspect.

   Depuis le temps qu'elizabeth est au pouvoir, elle a du trouver sa louche.

   C'est tout de même étrange, tous ces pédés que j'aime.

   Moi, aimer des pédés. Ou plutôt respecter des idoles qui ignoreraient la femme et trafiqueraient du cul. Parce que c'est bien la seule chose qui me ternisse, pour ne pas dire me dégrade, Arthur, paul... jack kerouac et jusqu'à claude françois.

   En somme ils sont tous pédés ? Même freud aurait été un pervers de la première heure...

   Ca c'est ci et ça c'est ça.

   Ca suffit ces facéties. [ c'était sans transition néanmoins - pour le moment je ne sais pas ce que j'en ferai, de ce facétie ]

   Faut reconnaître que l'arlésienne de Neimar qu'a jamais joué, le jour où je le vois pour la première fois, il est nul, et le Psg s'étale, c'est pas possible, y'en neimar.

   Quand on voit une belle maison on se dit qu'elle est belle, mais elles sont toutes belles, les maisons.

   L'été qui revient c'est aussi chiant que l'hiver qui arrive.

                    Il n'y a que deux types de femmes dans la vie, celle qui danse, et celles qui ne dansent pas.