Les match préparatoires de 1997

   Je ne parviens pas à trouver la vidéo où jacques villeneuve, rentrant au stand à la fin du grand prix de jerez 1997, alors que les trois ou quatre points qu'il vient d'obtenir lui attribuent le titre, veut aller casser la gueule à schumacher pour fait de course et se fait arrêter par son mécanicien qui le rappelle au bon sens : " tu es champion du monde ! ", je comptais l'insérer dans la rubrique sportive de mon blog startreuk, avec donc d'autres vidéos anecdotiques du même genre, du coup je ne suis pas sûr de laisser le récapitulatif que j'ai fait de la coupe du monde ( 98 ), qui ne correspond pas vraiment en définitive à ce que je voudrais montrer, hormi la petite dizaine de match préparatoires de 1997. Je préfèrerais présenter ayrton senna disant " tu me manques " à alain prost, mais s'il me manque un élément de mon concept je ne veux rien faire.

   J'ai fini de nettoyer, puis traiter la dernière poutre, c'est au final de plus en plus fastidieux. Je n'ai fait que cela de la journée et pourtant il n'y avait pas grand chose à faire. Enfin c'est plié, me reste la dernière ligne droite pour pouvoir changer d'activité.

   J'ai remarqué sur les vieilles poutres dont j'ai déjà parlé ( "calcinées" ) des marques de ferraille, trace de griffures qui me font penser à du bétail, je ne sais pas pourquoi, ou bien à des marques laissées par les gens du peuple, je ne sais trop comment, je ne sais trop quel frottement répété en fait ; également des marques laissées par une lame qui m'évoque un artisan, peut-être plus justement les simples traces d'un outil de coupe dont on se serait servi au dessus de la poutre, avant même qu'elle ne soit une poutre peut-être. Que j'y vois un artisan boucher ou des cornes de vaches, peu importe, je me trompe trés certainement, mais ces marques laissées par le passé m'habitent sûrement davantage encore que les poutres elles-même.

   Je suis fatigué, en ce moment, je me demande bien quand refleuriront les roses de septembre.