Un cahier des charges surchargé
Journée pleine et pourtant creuse comme une journée de vacances que l'on retient seulement pour l'avoir vécue.
Je turbine pourtant de mon mieux, ne serait-ce que parce-que je me dois d'être opérationnel samedi, qu'il me faut d'ici-là mettre de coté tout ce qui pourra partir à la décheterie. Sachant que je récupère dans un second temps la moitié de tout ce que je lui destinais, et dont j'étais bien soulagé de me départir, par exemple je vais garder mes vieilles tuiles cassées, je me demande si c'était bien la peine de louer un C15.
Mais comme à l'habitude je n'ai rien à exprimer, j'ai tout donné, il ne me reste plus de place pour moi, pour penser. C'est assez frustrant car l'intérêt de ce journal est un peu comme d'ouvrir une fenêtre.
Je me suis trouvé dans la nécessité, le besoin impérieux d'acheter des sachets de purée, et c'est peut-être bien tout ce qu'il me reste de ce "mordi".